La plus belle fille du monde

“La plus belle fille du monde, ce n’est pas moi. Je ne suis même pas la plus belle du quartier, ni la plus belle de la classe. Je suis juste moi, Sandra Walser, j’ai quatorze ans, ce qui est à la fois un très bon âge et le contraire, un âge nul, ça dépend de quel point de vue on se place.”  

Sandra Walser est en classe de seconde. Avec ses deux amis d’enfance, une fille et un garçon, ils forment une petite bande soudée, joyeuse et complice qui voit son quotidien basculer à l’arrivée de Liouba Gogol dans leur lycée. Elle est grande et belle, intelligente, drôle et modeste. Elle est parfaite et irrésistible. La petite bande de copains résistera-t-elle à ce bouleversement ? À la suite de cette rencontre troublante, Sandra, s’interroge : à quel moment devient-on adulte ? Pourquoi l’orientation scolaire est-elle si absurde ? Qu’est-ce que la beauté ? Comment survivre à la trahison de ses amis ? Dans ce spectacle alternant textes et chansons, également écrites par Agnès Desarthe, la pièce pose une ribambelle de questions au cœur de cet état à la fois merveilleux et déconcertant qu’est l’adolescence.  

* La plus belle fille du monde, École des loisirs.

©Garcia Stude

 

Shai Maestro

Jazzimut Festival, festival annuel de jazz et musiques voisines, porté par l’association Jazzimut, déroule sa deuxième édition. Il aura lieu à Saint- Nazaire du 21 au 25 mai 2024. Le Théâtre, scène nationale, est heureux d’accueillir le Quartet Shai Maestro à cette occasion, en co-réalisation avec Jazzimut. 

Dans sa critique du premier album du pianiste Shai Maestro sur ECM, The Dream Thief, le site américain, All About Jazz, parlait d’une “atmosphère lyrique, d’une éloquence émotionnelle et d’une virtuosité collective au service de la musique”. Tout cela s’applique également à Human, où le groupe extraverti et très communicatif de Maestro, avec son compatriote israélien Ofri Nehemya à la batterie et le bassiste péruvien Jorge Roeder, devient un quartet avec l’ajout inspiré du trompettiste américain Philip Dizack. Le pianisme expansif de Shai s’accorde parfaitement avec l’approche alerte et réfléchie de Dizack en matière d’improvisation.

Et, comme toujours, le Maestro fait progresser la musique tout en respectant son sens de la tradition. Vers la fin d’un programme composé presque exclusivement de compositions originales de Maestro, explorant toute une gamme de tempéraments, le quartet propose sa propre interprétation de “In A Sentimental Mood” de Duke Ellington, tandis que la mélodie “Hank and Charlie” de Shai rend hommage à l’empathie musicale partagée par les regrettés Hank Jones et Charlie Haden. 

Retrouvez tout le programme sur le site du festival www.jazzimut.fr

+ Foodtruck :  Sarah propose une cuisine locale et traditionnelle, à base de produits frais et locaux, une cuisine éco responsable respectant la saisonnalité pour des repas équilibrés et sains

Vous pouvez commander par sms au 07 82 89 09 94

En panini (tarif 6,5€): – Pesto mozzarella – Chèvre miel jambon blanc – Jambon cru curé nantais sauce tomate
En plat (tarif 9€)

©Liri Agami

 

Möbius

Le Théâtre et La Volière s’associent pour fêter le cirque sous toutes ses formes avec une programmation de  spectacles et de films. La Nuit du Cirque est un moment suspendu au cœur de l’automne, fédérateur et festif, pour partager la vitalité de cet art résolument populaire et exigeant, mettre en valeur son engagement dans  les combats sociétaux et environnementaux, ses  dimensions interculturelles et intergénérationnelles. 

La Nuit du Cirque est un événement national imaginé par Territoires de cirque avec le soutien du ministère de la Culture et l’appui de l’Institut français, Circostrada, circusnext, BUZZ (Allemagne) et ProCirque (Suisse).


Après Corps extrêmes la saison dernière, la scène nationale de Saint-Nazaire retrouve les circassiens de la compagnie XY et le chorégraphe Rachid Ouramdane pour un ballet aérien inspiré du vol des oiseaux.

“La rencontre avec la Compagnie XY devient un formidable terrain d’exploration pour une chorégraphie qui fonctionne par déflagration et avec le savoir-faire de ce groupe qui vient troubler le rapport à la gravité.” Rachid Ouramdane

Sur un plateau nu, immaculé de blanc, qui se vide et se remplit par fulgurances, quinze danseurs développent un langage acrobatique où l’action se déploie comme une réaction en chaîne tel une nuée d’oiseaux. Pour sa cinquième création, le collectif XY, en collaboration avec le chorégraphe Rachid Ouramdane, s’inspire ici des “murmurations” illustrées par les vols d’étourneaux : un ballet de centaines d’oiseaux, dense et parfaitement synchronisé, chacun réagissant au comportement de ses voisins les plus proches. Ce phénomène naturel s’apparente à un mode de communication singulier où la nuée d’oiseaux fonctionne comme un seul organisme. Le collectif y a trouvé une troublante similitude avec ses propres pratiques, de l’impératif du “faire ensemble” et de la nécessaire transmission des savoirs. Une pièce vertigineuse, entre voltige et poésie.

+ Atelier sur la pratique acrobatique des portés, animé par les acrobates de la compagnie XY. À travers de nombreux jeux et exercices, vous apprendrez à mieux connaître votre corps, ses forces et ses limites, à en explorer ses capacités, en s’initiant à l’acrobatie, qui développe la condition physique et la conscience corporelle. Pour les adolescents et les adultes déjà initiés à la pratique.

Samedi 18 novembre, de 10h à 13h à La Volière inscription obligatoire (12 personnes maximum) sur ce lien

https://lavolierecirque.com

tarif : 45 €

©Christophe Raynaud de Lage

 

Les Conversations du Théâtre

La place des femmes dans le spectacle vivant reste, encore aujourd’hui, inférieure à celle des hommes. Dans une étude menée par le Syndeac, (Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles) en partenariat avec Les Archives du spectacle et portant sur la saison 20-21, il apparaît que seuls 38% des spectacles programmés sont mis en scène par des femmes et 33% seulement sont l’œuvre d’autrices tandis que 42% des artistes sur scène sont des femmes. Les scènes françaises sont le reflet d’inégalités spectaculaires et le monde du cirque contemporain n’échappe pas à ce constat. Pour en parler et parce que ces chiffres font écho à la place des femmes dans la société, Le Théâtre invite trois générations de femmes artistes circassiennes : Fred Deb’, Chloé Moglia et Camille Judic. Nous parlerons performance physique et technique, corps contraint, entraînement mais aussi maternité, égalité hommes-femmes, évolution des mentalités et des pratiques.

La philosophe et professeure de science politique, Camille Froidevaux-Metterie, viendra conclure cette rencontre avec toutes les intervenantes. Elle sera également l’invitée de la librairie L’Oiseau Tempête le vendredi 22 mars à 18h30 (entrée libre).

Rencontre animée par Sabrina Rouillé. En partenariat avec la librairie L’Oiseau tempête.

Diplômée en 1992 du CNAC (Centre National des Arts du Cirque), Fred Deb’ fait partie des artistes précurseurs du cirque contemporain en France. Au sein de la compagnie Les Arts Sauts, elle a mené une carrière internationale qui l’a fait côtoyer toutes les formes artistiques : la danse contemporaine avec Nathalie Pubellier, Frédéric Lescure ou encore le chorégraphe américain Ron Bunzl, le théâtre contemporain avec Véronique Bellegarde, la musique, les arts plastiques et cinématographiques… En 2008, elle a participé au Forum économique mondial de Davos lorsque la France est désignée pour présenter le spectacle de clôture. En parallèle, Fred Deb’ a enseigné les disciplines aériennes à travers le monde et formé de nombreux artistes. Elle dirige aujourd’hui La Volière, lieu dédié aux arts du cirque aérien à Saint-Nazaire. 

Performeuse, suspensive, artiste et directrice du Rhizome, Chloé Moglia développe au travers de ses spectacles une exploration singulière de la suspension. Défendant une pensée incarnée, autant qu’une corporéité sensible, elle s’attache à déployer attention et acuité en liant pratique physique, réflexion et sensitivité. Ainsi conjugue-t-elle son rapport complice à l’apesanteur et sa confrontation avec le vide dans de multiples expérimentations aériennes. Ses créations en solo ou collectives jouent avec les corps, la lenteur, les lois de la physique et le vertige. Convoquant tout à la fois la peur et le goût du risque comme socle de ses spectacles et performances, Chloé Moglia y expose une maîtrise sidérante qui parle tout autant de fragilité. Chloé Moglia a été artiste associée au Théâtre de SaintNazaire de 2020 à 2023. 

Diplômée de l’ESAC (École Supérieure des Arts du Cirque de Bruxelles) en 2018, Camille Judic ne cesse de développer sa recherche, sa technique et ses expérimentations autour des sangles aériennes. Elle est passionnée par l’exploration des innombrables possibilités du corps en mouvement qu’offre cet agrès. Camille Judic a joué pour des compagnies de cirque telles que Le Cirque du Soleil et Rasposo mais également pour des compagnies mêlant la danse à des éléments circassiens comme Panama Pictures aux Pays-Bas ou la Compagnie Samuel Mathieu. L’artiste a créé L’Âme de Hécata au Théâtre de Saint-Nazaire en 2023, le deuxième solo d’une trilogie autour des sangles aériennes.

Philosophe, Camille Froidevaux-Metterie est spécialiste de la pensée féministe. Ses recherches portent sur les thématiques liées au corps des femmes dans une perspective phénoménologique qui les situe entre objectivation-aliénation et émancipation-réappropriation. Elle est l’autrice de La révolution du féminin (Gallimard 2015, Folio 2020), Seins. En quête d’une libération (Anamosa 2020, Points 2022), Un corps à soi (Seuil 2021, Points 2023) et Un si gros ventre. Expériences vécues du corps enceint (Stock 2023). Elle est aussi l’autrice d’un premier roman, Pleine et douce (Sabine Wespieser, 2023).

©Jérôme Blin

©Samia Puk Photography

©Joël Estrade

Présentation de saison

C’est avec plaisir que Béatrice Hanin, directrice du Théâtre, ainsi que toute l’équipe de la scène nationale, vous invitent à la présentation de cette nouvelle saison.

En compagnie d’artistes invités pour l’occasion, venez découvrir les spectacles de la saison à venir et les grands rendez-vous artistiques de l’année. 

 

Waveparty + DJ Set :

la soirée se poursuivra avec une waveparty et un DJ set dans le hall du Théâtre La Waveparty revient à Saint-Nazaire en mode impromptu. Nous vous proposons une Waveparty où nous apprendrons, en direct, les danses les plus énergisantes : Hammer, Flower power, Wave side story et plus si affinités… Dans la continuité de la Waveparty, Olyphant (David Monceau) proposera un DJ set composé de musiques arrangées pour continuer à danser dans l’esprit de la transe. Synthétiseurs et machines électroniques seront de la partie pour accompagner en live le groove du moment.

©Atelier Ter Bekke & Behage

 

©Jeremy Blahay

La Nantaise de Tarentelle

Le Sensationnel MajoR Ut est un collectif  de musiciens nantais sensibles aux rencontres qui désorientent et qui permettent  d’expérimenter des territoires inattendus. Après L’Appel du Clairon Éternel en 2018,  puis le concert dessiné Dans la Jungle,  en co-écriture avec Benjamin Bachelier en  2021, le Sensationnel MajoR Ut propose ici  sa troisième création, La Nantaise de  Tarentelle, en collaboration avec la danseuse  Aurélie Burgeot. 

Laissez-vous tenter par une sucrerie tonique pour  une danseuse et trois instrumentistes autour d’un triporteur  gourmand, dans un paysage de musiques italiennes.  Sous des apparences faussement régressives, La Nantaise de Tarentelle pose les notions d’une gourmandise militante  comme acte de résistance : la lutte des glaces! Tantôt douce et sucrée, tantôt acidulée, c’est une friandise  que l’on partage avec tendresse en famille ou entre amis. La Nantaise de Tarentelle, c’est aussi une réflexion nostalgique  sur l’exigeante condition d’adulte et l’inexorable fuite du temps.

en partenariat avec les Villes de Trignac et Paimbœuf

©Pauline Rühl-Saur

Arlequin poli par l’amour

Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 et metteur en scène à succès de Starmania, pose ses valises à SaintNazaire. C’est à une recréation de la pièce de Marivaux, Arlequin poli par l’amour, que s’est livré Thomas Jolly, avec une nouvelle génération d’acteurs et d’actrices. Pour convoquer la jeunesse et sa fougue, son insolence et sa bêtise, sa maladresse et son enchantement.

Première mise en scène du talentueux Thomas Jolly, recréée depuis, maturée mais pas assagie, elle brille et pétille comme une fête joyeuse.”  La Terrasse 

 

Arlequin est un beau jeune homme qui ne comprend rien aux choses de l’amour. Sa beauté a séduit une fée machiavélique, transie d’amour pour lui, qui décide de le retenir prisonnier. La raison de cet enlèvement ? Arlequin s’est épris d’une jeune bergère qui a fait surgir chez lui la force et l’innocence des premiers sentiments amoureux. Face aux jeunes gens sincères et naïfs se dresse une femme de pouvoir animée par la jalousie et la colère.  Les emprunts au conte fantastique, au cabaret et au carnaval créent un plateau féérique fait d’effets spéciaux, de guirlandes lumineuses et de paillettes, d’ombres chinoises, de ballons et de serpentins. La mise en scène de Thomas Jolly, très rythmée, mêle chansons, danse, chœurs et rires, pour faire partager au public son sens incroyable du merveilleux. Les jeunes générations qui ne goûtent guère aux textes classiques auront ici tout le plaisir de découvrir un théâtre intelligent et festif.

+ Evidencia food truck sera sur place de 18h30 à 20h.

Vous pouvez commander par SMS  06 30 34 28 21 ou via messenger @evidenciafoodtruck

©Nicolas Joubard

Sauvage

Après la Trilogie du Ring, Annabelle Sergent poursuit sa collaboration avec l’autrice Karin Serres en proposant un spectacle toujours centré autour d’une héroïne adolescente, qui explore, cette fois, le monde du vivant. 

Aujourd’hui plus que jamais, à tous les âges, nous avons un besoin urgent d’imaginaire.”  Karin Serres   

Sauvage, c’est l’histoire d’une bande de trois collégiens et collégiennes, dont l’héroïne fait partie, qui s’échappent régulièrement de l’internat, le jour, la nuit, pour rejoindre la forêt d’à côté : leur espace de liberté, de jeu et d’imaginaire collectif. Escapade après escapade, ils et elles s’enfoncent de plus en plus loin dans la forêt, y restent de plus en plus longtemps, y vivent des moments de plus en plus intenses et de plus en plus reliés au monde vivant qui les entoure.  Repérée par un piège photographique, la petite bande se joue du danger. Bientôt dépassée par l’ampleur des événements, elle décide de quitter la forêt, cachant son secret pour préserver sa joyeuse et insolente liberté.  Où se situe le “sauvage” dans ce récit ? Sans doute dans cette exploration du monde du vivant, “dans une usine abandonnée puis dans la forêt, des espaces laissés par l’humain, quitte à réveiller des forces qui nous dépassent…”. Annabelle Sergent met en scène une pièce riche de sens et de sensorialité, une fable merveilleuse et poétique où l’imaginaire permet de s’inventer un avenir meilleur. 

+ rencontre avec l’autrice Karin Serres mercredi 6 décembre à la médiathèque Jules Verne de Donges, dans le cadre du PCT de la Carène 

++ Inédit de Karin Serres jeudi 7 décembre au Théâtre

©Delphine Perrin

Le Bal Marionnettique

La compagnie Les Anges au Plafond vous invite à une grande fête de la danse avec des marionnettes meneuses de bal. Rejoignez-les sur le dance floor pour un carnaval de la vie aux allures de fête mexicaine.

Une piste de bal implantée sur la scène du Théâtre, un plateau de jeu transformé en dancefloor et une foule bigarrée pour ce Bal Marionnettique mené par un orchestre, des marionnettistes et une foule de danseurs : c’est la proposition joyeuse et singulière de la compagnie Les Anges au Plafond. Au centre de ces tableaux vivants, 130 marionnettes à taille humaine et objets marionnettiques attendent sur des portants de part et d’autre de la scène. Il suffit de la première note de musique pour mettre en mouvement cette multitude d’êtres inanimés. Danseurs et manipulateurs de marionnettes se confondent sur la piste pour un carnaval joyeux rappelant les fêtes du Dia de los Muertos (“Le jour des morts”) ou les grands carnavals qui se rient de la mort.

+ Le Bal des Timides :

Vous souhaitez apprendre à manipuler des marionnettes en compagnie des artistes avant de vous lancer sur la piste? Ce Bal des Timides est fait pour vous. De 15h à 15h45, adultes, enfants, soyez les premiers à danser.
Dimanche 10 décembre, gratuit sur réservation avec un billet pour le spectacle Le Bal Marionnettique (places limitées). Réservations ici

++ Atelier danse et marionnettes :

Devenez les Barons du Bal. Il n’est pas nécessaire d’être danseur ni marionnettiste pour vivre cette expérience festive: venez apprendre la grammaire de la manipulation auprès ses Anges au Plafond et devenez les Barons du Bal.
samedi 9 décembre au Théâtre de 15h à 18h, à partir de 10 ans,  tarif : 20€. Réservations ici

©L’Entracte à Sablé-sur-Sarthe

 

Superstructure

Inspiré du texte de Sonia Chiambretto, Gratte-Ciel, Superstructure donne la parole à la jeunesse algéroise des années 60 à nos jours dans une mise en scène d’Hubert Colas.

Dans des narrations et des voix multiples, entre réalité et fiction, documents d’archives et témoignages, Sonia Chiambretto, à travers une écriture sèche et rugueuse, tisse un regard intime et politique sur les soixante  dernières années de l’histoire algérienne.  Le Corbusier avait le projet de construire une Cité Radieuse à Alger, le projet Obus, finalement avorté. C’est à l’intérieur de cette architecture dystopique que campent les personnages de Superstructure: une jeunesse algéroise prise dans l’effroi de la décennie noire (19912002), quelques années seulement après la génération de leurs parents confrontés à la guerre d’indépendance. Qui a confisqué la liberté du peuple algérien ? Hubert Colas habite les mots de Sonia Chiambretto, donne corps à ces garçons, ces filles, ces hommes et ces femmes, vibrants, humains confrontés à la barbarie, à la violence, mais animés d’une fièvre, d’une urgence de vivre.  “Nous tentons de dessiner le portrait d’une humanité qui ne s’est pas fait suffisamment entendre et qui ne s’est pas encore aujourd’hui retrouvée”, explique Hubert Colas. 

Sonia Chiambretto et Hubert Colas cheminent ensemble artistiquement depuis plusieurs années déjà. Avec Superstructure, ils invitent à une plongée dans  la mémoire d’un peuple en quête d’un avenir. 

 

“Hubert Colas signe une mise en scène qui restitue l’adresse poético-politique du texte puissant et singulier de  Sonia Chiambretto. Bouleversant.”

Guillaume Lasserre, Mediapart 

©Hervé Bellamy