Drame
  • DURÉE
    1h19
  • ANNÉE
    1972
  • PAYS
    France
  • LANGUES
    VF
  • Une autre hsitoire du cinéma français #2

Absences répétées

de Guy Gilles

CINÉMA JACQUES TATI

d’après une chanson de Jeanne Moreau
copie 35mm

François travaille dans une banque. Il a vingt-deux ans, et rien ne semble l’intéresser en ce monde. Le directeur de la banque le convoque et lui déclare que vues ses absences répétées, il est congédié. Il demande fréquemment à la drogue de le faire pénétrer dans une autre réalité, celle des “Paradis artificiels”.

La séance du jeudi 14 mars à 20h45 sera présentée par Simon Lehingue, programmateur de la salle.

Prix Jean Vigo 1973

Tarifs

plein tarif 6,50€ 

tarif réduit 5,50€

carte 6 entrées 30€ (soit 5€ l’entrée)

– de 18 ans 4€

Casting

Patrick Penn, Danièle Delorme, Yves Robert, Nathalie Delon, Patrick Jouané
et apparitions de Jeanne Moreau, Sylvie Vartan, Richard Berry, Jean-François Balmer

Revue de presse

“«Je croyais que la vie était un poème», écrit François dans son journal intime. Elle ne l’est pas et François devance la mort. Mais les images de Guy Gilles écrivent sur des nuits blêmes des bribes de l’impossible poème. La vie extérieure de François est en noir et blanc, les fantasmes sont en couleurs. Cartes postales manipulées, comme toujours chez Guy Gilles, pour “visualiser” les traces et les cendres du temps, objets démodés, chanson tendre, clocharde grotesquement fardée, pluie qui évoque les larmes, jeunes gens complices qui contemplent, derrière une vitre, le spectacle dérisoire d’un bal populaire. L’érotisme passe par de fiévreuses visions sentimentales, une exigence de pureté.”
Jacques Siclier dans Le Monde, 16 novembre 1972