Drame
  • DURÉE
    1h10
  • ANNÉE
    1990
  • PAYS
    Finlande
  • LANGUES
    VOSTF
  • Retrospective Kaurismaki

La Fille aux allumettes

de Aki Kaurismäki

CINÉMA JACQUES TATI
  • 1 octobre 2023 à 19h40

Iris, une jeune fille qui travaille à la fabrique d’allumettes, est exploitée par tous : sa mère, son beau-père au coeur de pierre qui lui vole ses paies, puis plus tard par l’homme que, dans son esprit déformé par des romans à l’eau de rose, elle prend pour un prince charmant. Pourtant, ballotée dans ce monde cruel, Iris n’est pas le genre de fille à se laisser abattre par son destin.

 

Vendredi 8 septembre à 20h30 : Ciné-club, présentation de la rétrospective et commentaire

Tarifs

Plein : 7 €

Réduit 1 : 6 € (abonné Théâtre scène nationale ; moins de 25 ans ; demandeur d’emploi ; adhérent CCP ou La Couronnée ; UIA ; AVF ; abonné des cinémas Pax au Pouliguen, La Toile de mer à Pornichet et Atlantic à La Turballe)

Réduit 2 : 4 € (bénéficiaire de l’allocation adulte handicapé ou d’une carte d’invalidité ainsi que l’accompagnateur ; bénéficiaire de minimas sociaux)

Carte 6 entrées valable 6 mois : 33 €

Carte 10 entrées valable 1 an : 50 €

Moins de 18 ans : 4,50 €

Séances p’tits tati : 4 €

Casting

Kati Outinen, Esko Nikkari, Elina Salo

Revue de presse

« « Il y a quelques années, on a beaucoup entendu dire que le problème du cinéma finlandais était qu’il n’y avait ni bons scénarios, ni bons sujets. Ce à quoi j’ai répondu que ce n’était pas un problème, qu’on pouvait faire un film en partantd’une allumette ; elle ne sort pas de nulle part, où donc la fabrique-t-on ? Sûrement dans une usine, et qui la fabrique? Peut-être une fille, où va-t-elle après sa journée de travail ? Pourquoi pas chez elle, et qu’y trouve-t-elle ? Un beau père pervers, qui sait. On a filmé sur ce principe, un jour à la fois, en quelque sorte, d’après une vague liste de scènes. Et puis on y a greffé quelque chose du conte d’Andersen, ou de l’idée que j’en avais; je n’ai trouvé le livre nulle part et j’ai du m’en remettre à mes souvenirs de quand j’avais quatre ans. » ».
Aki Kaurismäki