100 CŒURS 4 SAISONS


Venez danser!
Ne manquez pas cette chance exceptionnelle de participer à un spectacle écrit spécialement pour vous par le chorégraphe Louis Barreau, artiste associé au Théâtre. Ce projet est ouvert à toutes et tous, danseurs amateurs, débutants ou confirmés. 

« 100 cœurs réunis traversant 4 saisons. 
100 cœurs réunis célébrant 30 ans de spectacle vivant. 
100 cœurs réunis battant pour les milliers de cœurs et les milliers de saisons d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Sur scène, une centaine d’êtres humains traversent et rythment l’espace et le temps, portés par la puissance fédératrice de la musique.

Les Quatre Saisons (1723) de Vivaldi comptent parmi les chefs-d’œuvres de la musique classique occidentale. Brillant et universel hommage à la nature, elles rappellent que la vie est un constant changement, et qu’elle le sera toujours. En 2012, le compositeur germano-britannique Max Richter réécrit cette œuvre de Vivaldi. Répétitions, résonances et métamorphoses obstinées y produisent une splendeur musicale dans laquelle on peut s’abandonner pour observer, entre frénésie et contemplation, le mystère de notre vie en constant changement. 
À la fois accessible et savante, la musique est un socle commun, un champ de perceptions immense et lumineux dans lequel les corps dansent et respirent ensemble. Les singularités tantôt s’élèvent tantôt se diluent dans l’infinie beauté de la masse.

Nuées d’oiseaux sous les ciels dorés d’automne, bancs de poissons accompagnés par les vagues, vents légers de printemps ou foudres libératrices d’été, neiges silencieuses ou sèves brûlantes annonçant la fin de l’hiver : la chorégraphie et la musique font écho aux mouvements, aux structures et aux rythmes fluctuants de la vie et du monde. 

Et si l’on tend l’oreille, peut-être parviendrons-nous à percevoir l’écho sensible des battements de 100 cœurs réunis.» Louis Barreau

©Patrick Garçon

Présentation de la saison 100% famille

Rejoignez-nous pour la présentation de la saison 100% famille : l’équipe de la scène nationale vous présentera les spectacles jeune public et les rendez-vous artistiques
auxquels vous pourrez assister en famille, parents, enfants et grands-parents. Sans oublier notre temps fort Saut-de-Mouton, qui aura lieu, comme d’habitude, pendant
les vacances de la Toussaint.  

Cette présentation sera suivie d’un apéritif pour petits et grands pour partager un temps d’échange et de convivialité.

 

©Atelier ter Bekke & Behage

Présentation de saison

C’est avec plaisir que Béatrice Hanin, directrice du Théâtre, ainsi que toute l’équipe de la scène nationale, vous invitent à la présentation de cette nouvelle saison.

En compagnie d’artistes invités pour l’occasion, venez découvrir les spectacles de la saison à venir et les grands rendez-vous artistiques de l’année. 

 

Waveparty + DJ Set :

la soirée se poursuivra avec une waveparty et un DJ set dans le hall du Théâtre La Waveparty revient à Saint-Nazaire en mode impromptu. Nous vous proposons une Waveparty où nous apprendrons, en direct, les danses les plus énergisantes : Hammer, Flower power, Wave side story et plus si affinités… Dans la continuité de la Waveparty, Olyphant (David Monceau) proposera un DJ set composé de musiques arrangées pour continuer à danser dans l’esprit de la transe. Synthétiseurs et machines électroniques seront de la partie pour accompagner en live le groove du moment.

©Atelier Ter Bekke & Behage

 

©Jeremy Blahay

Discofoot

Vous n’avez jamais vu un match de foot comme celui-là : Discofoot, c’est une partie de danse aussi déjantée que sexy qui s’amuse à dézinguer les règles du football sur fond de mix DJ.

Amoureux du foot ? De la danse ? Des deux ? Ce rendez-vous est pour vous !

 

Discofoot, c’est un match déjanté mêlant disco et football, chorégraphié par les danseurs de la compagnie du Ballet de Lorraine, sous la direction de Petter Jacobsson et Thomas Calley. La chorégraphie de ce match-performance repose sur les règles et le fonctionnement des matchs de foot. Sur cette base, les interprètes combinent une partition chorégraphique préétablie avec des possibilités d’improvisation sans limites. Le tout en respectant une règle d’or : vous ne devez pas courir. La seule façon de jouer est de danser ! Mais pas danser de n’importe quelle façon…

Chaque équipe est ainsi évaluée par un jury, constitué de Nazairiens venus de différents horizons, qui donne des points à la manière des juges dans les compétitions de patinage artistique. Le but n’est donc pas seulement de marquer des buts, mais également de montrer la plus grande créativité pour le faire ! Vous n’avez jamais vu un match de foot joué sur la pointe des pieds ?

Ce projet est soutenu par le ministère de la Culture (Direction Régionale des Affaires Culturelles) dans le cadre de l’Olympiade Culturelle.

© LaurentPhilippe

 

 

Le Plein Pays


Dans le cadre de P.A.N.G !


Un homme vit reclus depuis trente ans dans une forêt en France. Il creuse en solitaire de profondes galeries souterraines qu’il orne de gravures archaïques. Elles doivent résister à la catastrophe planétaire annoncée et éclairer, par leurs messages clairvoyants, les futurs habitants. Le film raconte cette expérience en marge de la société moderne, affectée par la misère humaine et la perte définitive d’un monde parfait.

La Nuit du Cirque au Cinéma Jacques Tati


dans le cadre de  La Nuit du Cirque


La Strada, Federico Fellini

 Italie, 1954, noir et blanc, version restaurée, VOSTF, 1h49. Avec Giulietta Masina et Anthony Quinn

vendredi 11 novembre à 14h30

Gelsomina, une brave fille un peu simple dont la mère ne parvient pas à assurer la subsistance, a été vendue à un forain, Zampano. Celui-ci survit en brisant des chaînes et en crachant du feu pour distraire les gens. Gelsomina le suit dans ses tournées et le sert fidèlement, bien sur son maître, homme bourru et laconique, la maltraite sans scrupule. Elle lui voue en effet un amour profond et silencieux. Un jour, elle rencontre Il Matto (Le Fou), un fildefériste qui l’écoute et lui parle. 

 » Le cinéma de la distance qui avait nourri notre jeunesse est renversé définitivement dans le cinéma de la proximité absolue. Dans l’étroite temporalité de nos existences, tout reste là, présent, de façon angoissante; les premières images de l’Eros et les prémonitions de la mort nous rattrapent dans chaque rêve; la fin du monde est commencée avec nous et ne semble ps vouloir s’achever; le film dont nous avons l’illusion d’être seulement spectateur est l’histoire de notre vie. » Federico Fellini

 

Dumbo, Ben Sharpsteen

Etats-Unis, 1941, animation, couleur, VF, 1h04. 

vendredi 11 novembre à 11h.

dimanche 13 novembre à 10h30. 

Par un beau matin de printemps, une cigogne livre un nouveau-né à Madame Jumbo, une femelle éléphant pensionnaire d’un cirque itinérant. À sa grande surprise, sa progéniture arbore des oreilles démesurément grandes, ce qui lui vaut d’être surnommé Dumbo par ses congénères méprisants. Rejeté de tous, le pauvre animal trouve dans une petite souris malicieuse une fidèle alliée, qui l’aidera à transformer ce handicap en atout. 

 

L’Élixir d’amour


L’Élixir d’amour (Elisir d’amore) est un opéra en deux actes de Gaetano Donizetti créé à Milan en 1832. Donizetti est âgé de trente-cinq ans lorsqu’il compose L’Élixir d’amour, son quarantième opéra, après avoir connu son premier grand succès avec Anna Balena en 1830 à Milan toujours. La comédie douce-amère est ovationnée par le public lors de la première représentation. L’Elisir d’amore sera l’opéra le plus joué en Italie entre 1838 et 1848.

Nemorino, jeune paysan un peu niais, aime éperdument la belle Adina. Une coquette convaincue de ses charmes et bien décidée à se jouer du pauvre transi d’amour. En ayant l’air notamment de céder aux insistances de Belcore, un militaire plus qu’imbu de lui-même. Mais le destin s’en mêle… 

La diffusion de l’opéra vous est proposée par Angers Nantes Opéra avec le soutien de la Région des Pays de la Loire. Toutes les infos sur culture.paysdelaloire.fr 

©Capucine de Chocqueuse /©Tristan Jeanne-Valès

Gérald Toto


Auteur-compositeur-interprète, Gérald Toto, l’une des voix du trio Toto Bona Lokua, présente son dernier album solo Manla

Gérald Toto est l’une des voix du célèbre trio panafricain emblématique Toto Bona Lokua (formé avec ses amis Richard Bona et Lokua Kanza). Son précédent album Sway, paru en 2018, était unanimement salué par la presse : « Irrésistiblement apaisant » pour Le Monde, « un récital de ballades intimistes et bucoliques qui invitent à la rêverie » pour Télérama, « une délicate ondulation » pour le Pop&Co de France Inter. Toto y trouvait sa propre voie, guidant les auditeurs avec de belles voix, comme s’il chuchotait à l’oreille de chacun de nous. Les influences musicales de Gérald Toto séduisent et on se laisse facilement porté par ces métissages musicaux qui vont de la romance pop au blues en passant par le jazz, la samba, les mélodies orientales et mandingues et les percussions caribéennes.  Son nouvel EP, Manla, prolonge cette trajectoire en affirmant son identité créole.

© Benoît Peverelli

 

Hamlet à l’impératif !


Hamlet à l’impératif ! est une adaptation de la pièce de William Shakespeare pour quatre acteurs et un musicien. Olivier Py questionne le théâtre à travers la pièce la plus connue des drames shakespeariens.

« Chaque nouvelle mise en scène de Hamlet est un événement ou toujours le même avènement : l’exégèse infinie d’une pièce de Shakespeare qui a conditionné l’imaginaire européen puis a conquis le monde. » Olivier Py

Hamlet à l’impératif ! est le onzième épisode du feuilleton théâtral créé par Olivier Py dans le cadre du 75e festival d’Avignon en 2021. Si l’on devait résumer la pièce en une seule question, il ne s’agirait pas de « Être ou ne pas être » qui n’est peut-être qu’une disgression philosophique au cœur d’un ensemble tragique mais plutôt « que dois-je faire ? » Dans une nouvelle traduction menée par celui qui dirigea le festival d’Avignon pendant plusieurs années, quatre acteurs et un musicien donnent une version concentrée du chef-d’œuvre de William Shakespeare dans une scénographie dépouillée. Olivier Py a choisi de questionner et d’analyser sous toutes les coutures la célèbre tragédie shakespearienne qu’il qualifie de « cinquième évangile laïque de l’Occident », dans une mise en scène jubilatoire.

© Christophe Raynaud de Lage

 

Dragons


La chorégraphe sud-coréenne Eun-Me Ahn invite des jeunes danseurs de culture asiatique différente pour un spectacle envoûtant, coloré et burlesque sous le signe du Dragon.

« Si nous devions imaginer un véritable dragon des années 2020, en nous tournant vers le 22e siècle, à quoi pourrait-il ressembler ? » Eun-Me Ahn

Pour ce projet, la chorégraphe sud-coréenne s’est intéressée aux jeunes nés en l’an 2000 sous le signe du Dragon, symbole d’autorité et de sagesse, donnant à l’humanité le pouvoir et le courage pour surmonter les grands bouleversements mondiaux. Elle a mené des recherches dans différentes parties de l’Asie pour mieux comprendre les danseurs issus de cette génération arrivés à l’âge adulte, dans un monde régi par la technologie. Entre tradition figée et homogénéisation culturelle, Eun-Me Anh interroge les héritages pour créer un dragon entièrement nouveau, crachant son souffle chaud vers l’avenir.

Figure de l’avant-garde et présentée dans les plus grands festivals internationaux, Eun-Me Ahn a été formée à l’école de la rigueur et de la précision. Proche de Pina Bausch, elle a présenté plusieurs œuvres au Pina Bausch Festival de Wuppertall. Avec Dragons, Eun-me Ahn présente une pièce pop, onirique et joyeuse.

Le food truck Home Burger sera sur place au Théâtre, dans la nef de 18h30 à 20h. 

© Sukmu Yun